La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1172)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode précédent) -

Il fourra ses doigts dans ma bouche et je léchai... Puis il se recula et me regarda en souriant perversement...

- A poil ! Obéis le chien et regarde le genre de correction que je donne, dit-il tout en déposant la badine sur son bureau.

Sans un mot de plus, je m’empressais de me déshabiller tandis qu’il saisit Joëlle par les cheveux et l'obligea à allonger son torse sur le bureau. Elle se tenait penchée, faisant saillir sa large mais belle croupe. Le professeur saisit une règle plate en métal qui se trouvait à proximité de sa badine et commença à lui en asséner de violents coups sur les fesses. Les coups étaient forts, secs, réguliers. Ils tombaient un à un, implacablement, le son de chaque coup résonnait clairement à mes oreilles et des traces commençaient à marquer les fesses offertes, recouvrant peu à peu les traces de l'ancienne flagellation... Elle subissait l'épreuve en silence, stoïque, demeurant immobile et sans laisser échapper le moindre gémissement. Pourtant les coups tombaient durement et son cul rougissait et se marquait de façon impressionnante. Tout en frappant, il me regardait en souriant avec perversité... Les coups tombaient encore avec une froide régularité et je voyais la croupe de Joëlle qui rougissait et bleuissait implacablement. Elle devait souffrir, pourtant, elle restait immobile et ne laissait pas échapper un gémissement. Seule une contraction des muscles du dos et des cuisses laissait deviner la tension qui la gagnait peu à peu...Soudain le professeur mit fin à la punition :

- Tu vois comme elle est bien dressée. Pas une plainte (il tapota les fesses meurtries de la jeune femme) voilà une bonne chienne bien éduquée. Mais elle n’a pas été punie seulement pour servir de démonstration à ton regard. En fait, elle a eu lors de sa dernière dissertation un exceptionnel et petit 14/20, alors que d’habitude elle dépasse les 15/20 de moyenne.

Elle savait que toute note en dessous de 15 serait sanctionnée. Oui pour elle qui travaille dure dans ses études, la barre est bien plus haute par rapport à toi le cancre, mais je ne désespère pas qu’un jour tu arrives comme cette chienne de Joëlle à avoir 15/20 de moyenne …

Puis Il s'approcha de moi et planta son regard dans le mien...

- Et c’est cela que tu vas devenir, une bonne chienne-salope de petit mâle en chaleur du cul... une putain docile qui satisfera toutes nos exigences les plus perverses. Ta bouche servira à sucer et ton cul à se faire enculer…. Et maintenant cul nu et penché sur le bureau, ordonna-t-il tout en ordonnant à chienne Joëlle de se mettre agenouillée mains derrière le dos et de regarder en silence ce qui va suivre

Alors je m'exécutai immédiatement, déjà dénudé je m'installais à plat ventre sur le bureau. Il me tendit alors un bout de tuyau en plastique :

- Mords ça et garde le... je ne veux rien entendre, Rien ! Prends exemple sur chienne Joëlle qui n’a émis aucun cri, aucun gémissement dit-il tout en déposant la règle sur le bureau et attrapant la badine avec laquelle il fendit l’air…

Je mordis l'objet, serrant fermement les dents dans la crainte de ce qui allait se produire et le premier coup vint, cinglant, s'abattant sèchement sur mes fesses nues. Je sursautai, l'onde du coup traversant tout mon corps terriblement tendu. Mais je n'eus guère le temps de penser, je mordis plus fort encore le bout de tuyau tandis que déjà, un deuxième coup s'abattait... Très régulièrement, avec un bref temps d'attente entre deux, Le Professeur appliquait Sa cinglante sanction, frappant mon cul et mes cuisses d'une main ferme et inflexible; il m'appliqua ainsi une correction de dix coups de badine; j'avais la croupe et les cuisses en feu, je tremblais et tentais d' les sanglots qui montaient, craignant que cela ne fasse reprendre la punition que je venais de subir. Je demeurais ainsi, exposé, craintif, immobile quand sa voix retentir à nouveau

- Deux fois par semaine, pendant un mois.
.. Tu reviendras deux fois par semaine dans ce bureau pour recevoir cette sanction et cela pendant un mois. Si à l'issue de ce cycle tes résultats se sont améliorés, j'envisagerai de lever la sanction; Si tel n'est pas le cas, je la doublerai pour la même durée; est-ce bien clair ?
- Oui, oui Monsieur, sanglotais-je piteusement
- Bien. Tu n'es qu'un esclave, il est nécessaire que tu comprennes bien que tes résultats médiocres constituent un manquement grave à l'égard du Maître. Tu dois toujours donner ce que tu peux de meilleur, pour Lui, pour Lui montrer ta dévotion, pour lui montrer que tu mérites de Lui appartenir, qu'il pourra faire quelque chose de toi, malgré ton insignifiance. Toi tu ne comptes pas, mais c'est à Lui que tu le dois. Est-ce bien clair ?
- Oui Monsieur...
- Bien, à genoux maintenant ! ordonna-t-il

Il se saisit à pleine main de mes cheveux et appuya sur ma nuque. Je découvris qu'il avait dégagé son sexe et que celui-ci se présentait, court mais épais et tendu devant mes lèvres. J'ouvris grand la bouche et il s'enfonça d'un coup sec avant de la limer avec violence; Il appuyait fortement des deux mains sur ma nuque pour enfoncer sa queue tout au fond de ma gorge... Ensuite il ne lui fallut que quelques minutes pour jouir, inondant ma gorge de sa semence épaisse et âcre. Il resta ainsi enfoncé en moi jusqu'à ce que l'ultime goutte ait coulé dans ma gorge, puis se retira.

- Rhabilles-toi, salope ! Il est temps de rentrer chez le Maître et sans traîner… Quant à toi, chienne Joëlle, idem, rhabilles-toi aussi et dehors tous les deux

Et d'un geste, une fois tous les deux rhabillés rapidement, il nous intima de sortir, ce que nous fîmes au plus vite. Je ne dis rien à Joëlle et elle non plus mais un regard furtif mais fraternel et réciproque passa en un éclair entre nous. Et c’est ainsi que nous primes un couloir différent. Le secrétariat était maintenant occupé par une femme d'âge mûr dont la poitrine opulente tendait l'étoffe d'un chemisier en matière souple.
.. Elle me regarda sortir avec un fin sourire tout en me tendant une enveloppe :

- Pour qui tu sais..; me dit-elle simplement avant de retourner à son occupation

Je quittai la fac particulièrement troublé. Ainsi, l'univers dans lequel j'évoluais à ma place d'esclave était bien plus vaste que je ne l'avais cru. Loin d'être circonscrit à l'appartement du Maître, il semblait avoir bien des ramifications. J'avais fait la connaissance de Joëlle, du vétérinaire et maintenant du Professeur et de Sa secrétaire, sans doute y'avait-il encore bien des choses à découvrir... C'était à la fois excitant et effrayant de réaliser ainsi que ma position servile était sans doute connue par d'autres personnes... C'est l'esprit envahi de sensations diverses que je regagnai l'appartement où je trouvai le Maitre installé dans Son fauteuil préféré. Je m'empressai de me déshabiller et de ceindre le collier de chien autour de mon cou avant d'aller promptement m'agenouiller à Ses Pieds, lui tendant humblement l'enveloppe confiée par la secrétaire. Puis j'attendais prosterné... Cela dura un long moment... Puis il y eut un mouvement... Je demeurai bien sûr immobile dans ma position d'attente, le visage au sol, les reins cambrés, la croupe relevée... Le Châtelain s'était levé, il m'observait, je le savais, ressentant comme une brûlure dans tout mon être, persuadé qu'il accordait Son Attention aux traces laissées par la morsure de la badine sur mon cul et le haut de mes cuisses... Je sentis alors Sa Main se poser sur ma croupe, Son Doigt suivant les traces qui la marquait... puis caressant l'intérieur de mes cuisses, les griffant lentement suscitant en moi un grand frisson :

- C'est bien ... Il était nécessaire de faire évoluer ton éducation. Bien sûr, tu es à Moi et seulement à Moi, mais il n'est pas exclu que je te prête parfois, ou que d'autres y prennent part. Le Professeur est de ceux-là... D’ailleurs, je lui prête aussi chienne Joëlle … Tu es donc loin d’être le seul dans cette situation…

Monsieur le Marquis n'ajouta pas un mot; Il se saisit simplement de la laisse qui pendait à l'anneau de mon collier de chien et tira dessus m'obligeant à le suivre ainsi, à quatre pattes.
Il me faisait évoluer à travers l'appartement, sans un mot, tirant plus fort si je traînais un peu trop à son goût. Après quelques minutes de cette évolution, il m’intima l'ordre de me redresser et me fit installer à plat ventre sur la table du salon; La pointe de mes pieds touchait à peine le sol. Il se saisit de mes poignets et les tira en arrière, utilisant une fine corde pour les lier dans mon dos. Puis je sentis Ses Mains qui, je le supposais, suivaient le tracé des marques laissées par la badine du Professeur. Tout mon corps se tendait, frémissait, je me cambrais légèrement lorsque je sentis un doigt, puis deux s'introduire en moi, m'ouvrir, m'écarter, me fouiller l’anus en profondeur... Les doigts m'ouvraient, affirmaient la possession du Maître, me faisaient ressentir Son Pouvoir, Son Droit absolu à disposer de moi...

Il se déplaça légèrement et vint se placer derrière moi, me forçant à écarter plus largement les cuisses, et soudain Il retira ses doigts et je sentis son gland épais contre mon anus ouvert ... D'un coup sec, il entra en moi et s'enfonça profondément. Je laissai échapper un bref petit cri... et il accéléra le rythme, allant et venant en moi brutalement... Monsieur le Marquis d’Evans me baisa ainsi longuement, durement... Il avait saisi mes cheveux et tirait dessus tout en m’enculant sans ménagement, abattant parfois sa main pour une claque appuyée sur ma croupe...

Le Noble prenait ainsi ce qui Lui appartenait. Il me possédait ainsi qu'Il en avait le Droit, le Droit sans autre limite que celles de Sa Volonté et je ne connaissais nulle limite à cette Volonté...

(A suivre …)

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